Le poivre est une épice que l’on trouve de nature sauvage ou de culture. Il est utilisé depuis des siècles de façon médicinale. Les Aborigènes par exemple utilisent le poivre de Tasmanie à la fois en condiment mais aussi de manière thérapeutique en médecine traditionnelle, surtout pour son rôle antimicrobien, antifongique qui permet aussi d’en faire usage en tant que conservateur pour les aliments.
Tout d’abord sachez que rien de ce qui n’est écrit dans cet article n’est vrai si vous consommez du poivre bon marché, en réalité dénaturé. Veillez à moudre vos grains vous-même afin d’en préserver la saveur et les bienfaits.
Le poivre est riche en nutriments essentiels
Le poivre est une source importante de vitamines B, C et K, ainsi que de minéraux : fer, magnésium, phosphore et potassium. Il aide, en outre, à absorber les nutriments présents dans les plantes.
Malgré son goût piquant, le poivre est anti-inflammatoire. Il contient un composé chimique appelé « pipérine ». Dans une récente étude scientifique, l’extrait de pipérine a fortement réduit les douleurs d’arthrite en quatre à huit jours. En particulier, les participants à l’étude ont constaté une diminution de l’inflammation dans l’articulation des chevilles. (source « Anti-inflammatory and antiarthritic effects of piperine in human interleukin 1β-stimulated fibroblast-like synoviocytes and in rat arthritis models »)
Le poivre contient de la pipérine, qui stimule la production d’endorphines et lutte ainsi contre la dépression.
Si l’on ajoute à l’aspect chimique de la production d’endorphine le plaisir simple du goût et du partage on trouve dans le poivre un fabuleux stimulateur d’endorphine appelé aussi Hormone du bonheur.
L’alimentation est de loin le meilleur moyen d’atteindre le nirvana. Le poivre est votre allié “bonne humeur, bonne santé”